Bonsoir,
Il m'a semblé avoir croisé un message quelquepart sur le forum d'une pétition lancée par une mairie essonnienne (?)
Vu sur le facebook de Sénart avec un petit lien :
Il y en a qui ne doutent de rien.Le futur appartient au mode indicatif, celui-ci est le mode du fait, de la certitude
Des élus manifestent contre un RER D «omnibus»
Une grande banderole «RER D : Non à l’omnibus» surplombait la manifestation. Une trentaine d’élus d’Essonne et de Seine-et-Marne se sont présentés devant le siège du Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif), à Paris, en début d’après-midi. Un rassemblement organisé en parallèle à l’audition de Guillaume Pépy, directeur de la SCNF, par le Stif.
Ils ont demandé à ce que les modifications envisagées sur la ligne D du RER ne soient pas mis en oeuvre immédiatement.
«Rajouter des arrêts entre Paris et la grande banlieue est une décision apocalyptique, tempête Nicolas Dupont-Aignant, député-maire (DLR) de Yerres (Essonne), cela va rallonger chaque trajet de 10 minutes. C’est l’équivalent d’une semaine passée dans les transport en plus par an pour un Francilien.» «C’est maintenant qu’il faut agir sinon il sera trop tard, renchérit Valérie Pécresse, députée de la 2 e circonscription des Yvelines et présidente du groupe UMP au conseil régional. Nous reviendrons toutes les semaines s’il le faut.»
Une délégation a été reçue par les élus du Stif après la manifestation.«On leur a répété qu’aucune décision n’avait encore été prise, tempère Pierre Serne, vice-président (EELV) du conseil régional en charge des transports. Nous essaierons de faire la part des choses entre les exigences de chacun.»
LeParisien.fr
C'est pas plutôt l'autre intervenante citée dans l'article qui serait l'auteur de cette fulgurance calculatoire ? (auquel cas on pourrait plaider la défaillance connue du module arithmétique)«Rajouter des arrêts entre Paris et la grande banlieue est une décision apocalyptique, tempête Nicolas Dupont-Aignant, député-maire (DLR) de Yerres (Essonne), cela va rallonger chaque trajet de 10 minutes. C’est l’équivalent d’une semaine passée dans les transport en plus par an pour un Francilien.»
100 minutes par semaine sur 45 semaines, ça fait soixante quinze heures, donc plutôt deux semaines de travail perdues dans les transports!C'est pas plutôt l'autre intervenante citée dans l'article qui serait l'auteur de cette fulgurance calculatoire ? (auquel cas on pourrait plaider la défaillance connue du module arithmétique)«Rajouter des arrêts entre Paris et la grande banlieue est une décision apocalyptique, tempête Nicolas Dupont-Aignant, député-maire (DLR) de Yerres (Essonne), cela va rallonger chaque trajet de 10 minutes. C’est l’équivalent d’une semaine passée dans les transport en plus par an pour un Francilien.»
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