Puisque nous sommes au moins deux "nordistes" sur ce forum, il faut que j'en parle... J'aurai peut-être au moins un lecteur (le début de la célébrité ! ).
Ce soir, chance magnifique, ne cafouillait pas trop. Donc... j'avais une bonne chance d'être chez moi à 20 h 30.
Oui, mais voilà...
Si VUCA m'a déposée à 20 h 17 à Pierrefitte, il me restait mon cher bus RATP 168. J'ai les horaires dans le sac : 20 h 14 étant raté, nous allions attendre 20 h 24.
Nous l'avons attendu... jusqu'à 20 h 30 ! Et comme il avait du temps devant lui, il a marqué une pose.
Du coup, le train suivant (celui qui quitte GdN à 20 h 13) est arrivé, sans compter les 2 qui sont passés dans l'autre sens.
Et mon cher 168 a embarqué tout le monde, avec le grand renfort du message enregistré que j'ai appris par coeur : "Pour faciliter la montée, veuillez avancer vers l'arrière". A l'arrière, la RATP vient de supprimer la banquette qui fermait le fond du bus. Il ne leur reste plus qu'à y ouvrir une porte : comme ça, on montera par l'avant et le centre, on ressortira par l'arrière... et il y aura toujours de la place !
Car ce soir, je crois qu'il aurait mieux valu supprimer tous les sièges...
Petit détail : sur les horaires qu'on nous a remis mi-janvier (applicables du 19 janvier au 30 juin 2009, c'est écrit dessus), il était aussi prévu un autre bus à 20 h 36. Alors là... on ne l'a jamais vu ! A moins que celui que j'ai pris pour 20 h 24 en retard n'ait été 20 h 36 en avance ? C'est possible... puisque c'est l'heure à laquelle il a finalement quitté Pierrefitte
Résultat : arrivée à 20 h 17 à Pierrefitte, j'ai poussé ma porte à... 20 h 47.
Merci le 168